
La guérison : un retour à soi, pas oublier.
- Veromedium Frejefond

- 10 nov.
- 2 min de lecture
✨ La guérison : un retour à soi, pas un oubli
Guérir ne signifie pas oublier. Guérir, c’est choisir de ne plus laisser une blessure diriger notre vie. C’est se délester du poids d’émotions violentes qui étouffent notre joie, notre spontanéité et notre liberté d’être.
Une blessure ne définit pas qui vous êtes. Elle ne vous identifie pas. Elle n’est pas votre essence. Pourtant, lorsqu’on la laisse occuper toute la place, elle devient un voile qui déforme nos relations, notre manière d’aimer, de travailler, d’exister.
Elle peut se traduire par de l’impulsivité, de la colère, parfois même une agressivité permanente… comme si l’on en voulait à la Terre entière.
💫 Mais la véritable question est la suivante : que pouvez-vous faire pour retrouver votre équilibre, votre confiance en vous et l’amour de vous-même ?
La première étape est d’accepter que cette blessure a pris trop de place. Vous l’avez nourrie sans le vouloir, parfois avec acharnement, comme si elle était devenue une compagne fidèle. Mais cette blessure ne vous appartient plus. Elle est un souvenir, un écho du passé.
👉 Alors pourquoi avons-nous peur de la lâcher ?
Parce qu’au fond, nous avons peur de découvrir qui nous sommes sans elle.
Peur de rencontrer notre véritable essence.
Peur de perdre une identité construite autour de la douleur.
Mais en vérité, vous ne deviendrez pas « quelqu’un d’autre » en la laissant partir. Vous deviendrez enfin vous-même. L’être qui se cache derrière ce masque de souffrance. Celui qui aspire à la paix, à l’amour, à l’authenticité.
Guérir, c’est reconnaître qu’on a longtemps entretenu cette blessure, qu’on l’a parfois amplifiée. Et c’est avoir le courage de dire : « Je n’ai plus besoin d’elle. »
🌿 La guérison est un acte d’amour envers soi-même.
C’est s’autoriser à être libre, à être léger, à accueillir des émotions qui ne détruisent pas, mais qui élèvent.
Alors, osez vous poser ces questions :
Ai-je peur de me libérer de mes chaînes ?
Ai-je peur d’accueillir de nouveaux sentiments, plus doux, plus lumineux ?
Ai-je peur de reconnaître que j’ai nourri ce qui me détruisait ?
✨ Si vous répondez « oui », sachez que la guérison commence ici, maintenant : dans cette prise de conscience.
Vous n’êtes pas votre blessure.
Vous êtes l’amour que vous vous autorisez enfin à vivre.
Avec toute ma lumière ✨️
Véronique



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