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L'amour au delà de la mort.

💫 L’amour au-delà de la mort : quand le lien ne s’éteint pas


Il y a des amours qui ne meurent jamais.

Des liens si forts qu’aucune absence ne peut les briser,

des présences qui continuent de veiller, silencieuses,

dans les interstices de la vie.


Quand un être cher s’en va,

le monde perd ses couleurs pour un temps.

Tout semble s’arrêter : le souffle, le cœur, la lumière.

Et pourtant, dans ce vide immense,

quelque chose continue de vibrer —

une trace, une énergie, une mémoire d’amour.


🌷 L’amour ne connaît pas la fin


La mort interrompt la parole, pas le lien.

Elle efface la présence visible, mais pas l’empreinte.

Car l’amour véritable ne se limite pas au corps ni au temps :

il vit dans les espaces invisibles,

dans cette dimension subtile où les âmes se reconnaissent encore.


On croit d’abord que tout est perdu.

On cherche l’autre dans les souvenirs, dans les objets, dans les rêves.

Puis, un jour, sans qu’on sache comment,

on sent une paix douce se poser là où la douleur brûlait.

Un signe, une lumière, un souffle d’air,

et le cœur comprend ce que la raison ne peut expliquer :

il ou elle est là, autrement.


🌙 La présence invisible


Ceux que nous aimons ne disparaissent pas.

Ils changent de forme.

Ils se glissent dans les murmures du vent,

dans un parfum familier,

dans un instant suspendu où tout semble aligné.

Ils ne parlent plus avec des mots,

mais leur énergie se fait sentir dans le silence.


L’amour devient alors un langage d’âme à âme,

une communion au-delà des frontières.

Il ne s’agit plus de toucher, mais de ressentir.

Plus de voir, mais de reconnaître autrement.

Et dans cette reconnaissance,

la peur de la séparation s’adoucit,

la douleur devient tendresse.


🌅 Aimer autrement


Aimer au-delà de la mort,

c’est accepter de ne plus attendre les mêmes réponses.

C’est laisser la mémoire devenir lumière,

et non blessure.

C’est apprendre à dire “je t’aime”

sans attendre de retour,

mais en sentant, dans le cœur,

que l’amour circule encore.


Parce que l’amour ne s’éteint pas —

il se transforme, il s’élève.

Et dans ce mouvement,

il nous relie encore plus profondément

à ce qu’il y a de plus grand que nous :

la vie, dans sa continuité.


Alors, non, la mort ne met pas de point final.

Elle déplace simplement la virgule.

Elle transforme la présence physique en présence d’âme,

la parole en silence habité,

la main en souffle,

le regard en lumière.


L’amour, le vrai,

ne se dit pas au passé.

Il se conjugue éternellement au présent.


Avec toute ma lumière ✨️


✍️ © Véronique Frejefond



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