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Quand l’invisible Nous parle.

✨ La présence subtile des êtres partis : quand l’invisible nous parle


Ils ne sont plus là, et pourtant…

Parfois, un souffle, une lumière, un parfum,

et le cœur reconnaît quelque chose.

Quelque chose d’invisible mais d’évident,

comme si l’âme savait, avant même que la raison comprenne :

Ils sont là, autrement.


Quand un être que l’on aime s’en va,

le monde semble se vider de sens.

Mais avec le temps, dans le silence du manque,

une autre forme de lien se tisse.

Moins visible, plus subtile,

faite de sensations, de synchronicités, de signes.


🌫️ Ces signes qui ne sont pas un hasard


Un oiseau qui vient se poser à la fenêtre,

un rayon de soleil qui traverse la pièce au moment où l’on pense à eux,

une chanson qui réapparaît comme un clin d’œil du ciel…

Certains appellent cela le hasard.

Mais quand cela se répète, quand cela nous touche au plus profond,

on sent bien que c’est plus que cela.


Ce sont des échos de l’invisible,

des gestes d’amour que la vie nous envoie

pour nous rappeler que rien n’est jamais complètement fini.

Que la présence existe au-delà de la matière,

et que le lien du cœur ne connaît pas la mort.


🌷 L’amour comme passerelle


L’amour crée un pont entre les mondes.

Il relie ce que la vie sépare.

Il permet aux âmes de continuer à se reconnaître,

même lorsque les mots se sont tus.

Dans la tendresse d’un souvenir,

dans une émotion soudaine sans raison,

ils viennent, discrets, nous effleurer.


Il ne s’agit pas de les retenir,

mais de les sentir.

Ils sont libres, légers, lumineux.

Et parfois, dans un instant de paix,

ils se glissent entre deux souffles,

pour nous dire simplement :

Je suis là. Continue à vivre, à aimer, à être.


🌙 Croire, c’est ressentir


Ressentir leur présence, ce n’est pas de la croyance.

C’est une expérience du cœur.

C’est ce moment où la tristesse s’apaise soudain,

où l’on se sent enveloppé d’une douceur inexplicable.

C’est cette chaleur, cette émotion qui monte,

comme si une main invisible se posait sur la nôtre.


Ces instants ne se provoquent pas,

ils se reçoivent.

Ils naissent quand on ouvre l’âme,

quand on accepte de croire que l’amour est plus fort que la mort.

Quand on ne cherche plus à comprendre,

mais simplement à sentir.


💫 La continuité du lien


Les êtres partis ne nous quittent pas.

Ils changent de dimension,

mais leur présence persiste sous d’autres formes.

Dans la lumière du matin, dans le souffle du vent,

dans le calme retrouvé après les larmes.


Ils deviennent des présences de paix,

des guides silencieux,

des étincelles d’éternité.

Et plus le temps passe,

plus on apprend à vivre avec eux autrement —

non plus à côté, mais à trave#Synchronicités.


Avec toute ma lumière ✨️


✍️ © Véronique Frejefond


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